BILLET. Un si grand soleil. On a voté et voici nos 5 personnages préférés

 Dur de départager la myriades de personnages d'Un si grand soleil. Pourtant, on a trouvé notre Top 5 de nos persos préférés de la série. Seriez-vous d'accord avec nous ?



Number one

Que serait Un si grand soleil sans Elisabeth Bastide (Chrystelle Labaude) ? C’est un peu notre Alexis Colby (Dynastie), la matriarche dans toute sa splendeur, le Botox en moins. On aime tout chez ce personnage : la manière dont elle se bat sans jamais descendre du ring malgré la violence des uppercuts, son regard plein d’amour et de tendresse pour son Alain (Frédéric Van Den Driessche), ses coups en douce et ses coups durs, sa mauvaise foi et ses punchlines.


Le dandy qui rit

Chez Yvon Back (Clément Becker), tout est subtilité. Si la fonction qu’il incarne, réclame une certaine rigidité, le comédien s’autorise ici un léger haussement de cil, là un pincement de lèvre presque imperceptible, ou encore un mouvement de corps capable de contenir une secousse  pour conserver, avant tout, sa dignité … On l’adore particulièrement sur le terrain de l’humour notamment avec Hugo (Bibi Tanga) qu’il se plait à malmener ou avec ses collègues, Yann (Constantin Balsan) et Alex (Benjamin Bourgois) qui ont, chacun leur tour, eu des échanges de balles savoureuses avec lui. Et que dire de sa relation avec Claudine (Catherine Wilkening) auprès de laquelle il marche sur des oeufs pour ne pas risquer de réveiller le volcan? On plébiscite ses cours de yoga avec Janet (Tonya Kinzinger) tout comme ses sorties en vélo parce que dans l’accoutrement du parfait petit cycliste, il y a une forme de vulnérabilité qu’il convient d’apprécier.


Un nouveau visage

La révélation de cette fin d’année qui augure de perspectives réjouissantes pour la suivante c’est Florent Graçay (Fabrice Deville). Après des années à représenter le couple parfait avec Claire (Mélanie Maudran), le voilà qui, après une courte phase de déprime jouée dans la nuance, s’enhardit avec Cécile (Marie-Gaëlle Cals). Ce binôme qu’on regardait avec circonspection s’avère délicieusement complice grâce aux failles et aux pseudo résistances de chacun. Ils ne contentent pas d’être beaux, ils sont touchants. Quant au duo d’ados attardés formé par Florent et Hugo, sous le regard consterné de Sabine (Gaela Le Dévéhat), on applaudit des deux mains la jolie trouvaille des auteurs et l’interprétation réussie des comédiens.


L’impossible rédemption

Pas une route droite empruntée par Eliott Faure (Stéphane Monpetit) sans qu’il ne tente le chemin de traverse. Ce gars, c’est la rédemption contrariée. Aucune bonne résolution ne tient au-delà de quelques semaines au point qu’il déclenche l’empathie du téléspectateur, une envie de le prendre dans les bras et de lui indiquer la voie sacrée. Sauf que côtoyer Eliott c’est comme grimper à bord d’un roller-coaster et espérer ne croiser aucun looping. Ca fait peur mais on adore. Autant dire que la sortie de prison annoncée de l’ancien procureur Bernier (Franck Adrien) et la prochaine confrontation entre les deux ex ennemis nous donne déjà des palpitations.


La bulle de champagne

Et puis il y a Alix Dardel (Nadia Fossier). Cette chère Alix. Jamais loin des embrouilles, elle n’a pas peur de grand chose ni de grand monde. Le mensonge est une seconde nature chez cette femme virevoltante, imaginative, libre et sexy. Le début d’année va être l’occasion de confronter Alix à son passé puis son avenir. Nadia Fossier appuie sur tous les boutions de l’ascenseur émotionnel et envoie son personnage douter, faillir, expier ses pêchers, succomber, regretter, y revenir et finalement choisir entre son ex et son actuel. Notre seule inquiétude c’est que fin janvier, son cercle se restreigne trop. Il va rapidement falloir lui trouver de nouveaux personnages avec lesquels interagir pour qu’elle ne disparaisse pas des intrigues.

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